HOMMAGE RENDU PAR Mr Pascal SOLOFRIZZO DG 54
A MONSIEUR JEAN LARGUEZE DELEGUE GENERAL HONORAIRE
DECEDE LE 15 NOVEMBRE 2014
Le 6 septembre 2009, J. Largueze animait sa dernière Assemblée Générale Départementale dans les grands salons de l'hôtel de ville de Nancy en présence du Gal De Percin ancien Président, et du Gal Delbauffe actuel Président, de l'Association Nationale du Souvenir Français et de Mr le Maire de Nancy; c'était une cérémonie fort émouvante qui retraçait 29 années de don de soi pour la cause de la mémoire.
Jean était venu dans cette association parce que son ami Marc Vaugin y militait déjà. Dans cet engagement on ne peut pas dissocier Jean et Marc.
Marc gérait l'administratif et Jean montrait la marche à suivre dans tout le département en suivant les instructions venues de Paris et en se montrant ouvert à toutes les initiatives locales. Il rencontrait tous les ans les comités, encourageait, félicitait mais rappelait à l'ordre aussi quand il fallait, il était joignable tout le temps et faisait tout ce qu'il pouvait pour aider les comités dans l'obtention d'aides financières pour des projets qu'il jugeait intéressants.
La maison rue Félix Fort était quasiment devenue les archives départementales du S.F. bien qu'il considéra que les bureaux place du Colonel Driant était un peu sa seconde maison.
Pour lui la mémoire n'était pas seulement l'entretien des tombes et des monuments, mais aussi tout ce qui avait trait à la mémoire liée à notre identité, comme la rénovation de l'église mémorielle de Mars la Tour en 2009.
C'est à regret qu'il quitta son poste : il sentait bien qu'il y avait des amis et que cela lui faisait du bien ; mais il fallait se rendre à l'évidence : à 89 ans, on peut considérer que la mission est remplie.
Jean était un homme positif avec beaucoup d'humour, il était très attentif et très près des gens ; son conseil était toujours avisé parce qu'on sentait l'homme d'expérience. C'était un homme d'initiative aussi : avec Marc il avait mis en place une journée du souvenir avec la participation des écoles de Nancy. Le départ de Marc le 7 mai 2007 l'avait beaucoup affecté.
Dans ses propos lors des différentes Assemblées Générales il se plaisait à évoquer Tocqueville qui traitait de l'immortalité et de l'éternité : l'éternité c'est pour Dieu, l'immortalité c'est du domaine de l'humain et destiné à avoir une marque longue dans l'histoire.
Jean, vous qui venez d'entrer dans l'éternité, vous avez su nous montrer le chemin pour que ceux qui ont donné leurs vies ou fait de belles actions pour notre pays soient immortalisés.
Marc gérait l'administratif et Jean montrait la marche à suivre dans tout le département en suivant les instructions venues de Paris et en se montrant ouvert à toutes les initiatives locales. Il rencontrait tous les ans les comités, encourageait, félicitait mais rappelait à l'ordre aussi quand il fallait, il était joignable tout le temps et faisait tout ce qu'il pouvait pour aider les comités dans l'obtention d'aides financières pour des projets qu'il jugeait intéressants.
La maison rue Félix Fort était quasiment devenue les archives départementales du S.F. bien qu'il considéra que les bureaux place du Colonel Driant était un peu sa seconde maison.
Pour lui la mémoire n'était pas seulement l'entretien des tombes et des monuments, mais aussi tout ce qui avait trait à la mémoire liée à notre identité, comme la rénovation de l'église mémorielle de Mars la Tour en 2009.
C'est à regret qu'il quitta son poste : il sentait bien qu'il y avait des amis et que cela lui faisait du bien ; mais il fallait se rendre à l'évidence : à 89 ans, on peut considérer que la mission est remplie.
Jean était un homme positif avec beaucoup d'humour, il était très attentif et très près des gens ; son conseil était toujours avisé parce qu'on sentait l'homme d'expérience. C'était un homme d'initiative aussi : avec Marc il avait mis en place une journée du souvenir avec la participation des écoles de Nancy. Le départ de Marc le 7 mai 2007 l'avait beaucoup affecté.
Dans ses propos lors des différentes Assemblées Générales il se plaisait à évoquer Tocqueville qui traitait de l'immortalité et de l'éternité : l'éternité c'est pour Dieu, l'immortalité c'est du domaine de l'humain et destiné à avoir une marque longue dans l'histoire.
Jean, vous qui venez d'entrer dans l'éternité, vous avez su nous montrer le chemin pour que ceux qui ont donné leurs vies ou fait de belles actions pour notre pays soient immortalisés.